En règle générale, la sélection d'une nouvelle technologie dans l'industrie manufacturière s'accompagne d'une longue réflexion et d'un investissement considérable. Ce choix doit être mûrement réfléchi afin de s'assurer qu'il répond aux besoins de l'entreprise. Il est également important que la technologie puisse être déployée en toute sécurité pour aider à gérer et à atténuer les risques de manière efficace.
Voici les 3 domaines clés à prendre en compte pour réduire les risques lors du choix d'un logiciel de visualisation :
1. Réduction des risques techniques
Les fabricants qui cherchent à réduire les risques techniques ou d'exécution ont tout intérêt à opter pour une plateforme de visualisation qui permette aux utilisateurs de générer un code propriétaire. Lors de la conception d'applications, la possibilité de développer et d'utiliser une bibliothèque de codes propriétaires pour des applications spécifiques optimise et simplifie l'ensemble du processus. Le code ayant été testé, les modules peuvent être déployés dans des applications individuelles nécessitant des quantités prévisibles. En utilisant un code fiable, les développeurs réduisent les risques liés à la pris en charge et favorisent une résolution rapide.
Une plateforme de visualisation qui permet une collaboration facile entre les équipes de développement contribue à réduire les risques techniques. Le fait de disposer d'un environnement de conception permettant à plusieurs développeurs d'augmenter, de développer et de tester le travail de l'équipe permet d'assurer la redondance et d'éviter des erreurs qui, autrement, pourraient passer inaperçues. De même, le développement collaboratif avec un référentiel commun partagé, comme GitHub, et le contrôle des révisions sont des éléments qu'une solution de visualisation devrait avoir, ainsi que la remédiation des risques techniques. La traçabilité et la visibilité permettent aux utilisateurs de savoir quand les changements sont effectués, et par qui. Grâce au contrôle des révisions, les utilisateurs peuvent visualiser et résoudre les conflits éventuels, ce qui permet d'éliminer les erreurs ou les pertes de travail potentielles. L'intégration de ces automates dans l'éditeur permet de rationaliser l'ensemble du processus de développement et de réduire les risques en éliminant de l'équation les problèmes liés au contrôle des révisions.
2. Réduction des risques d'ordonnancement
Le temps consacré au développement et au déploiement est réduit lorsque les équipes travaillent avec des morceaux de code propriétaires et bien testés. Dans la mesure où les utilisateurs ne doivent pas repartir de zéro à chaque fois, les coûts associés sont également souvent réduits.
La conception d'interfaces normalisées permet aux informations de circuler entre les composants logiciels en temps réel, puis vers des serveurs de base de données distants et enfin, vers le cloud. Grâce à ces modules de propriété intellectuelle éprouvés sur le terrain, le déploiement est beaucoup plus rapide que s'il fallait à chaque fois recommencer de zéro, ce qui réduit les risques en matière d'ordonnancement.
3. Réduction des risques commerciaux
Grâce à un ensemble normalisé de contenus élaborés, testés et fiables, il est possible de limiter les risques commerciaux. Le recours à des composants dont la fonction et les résultats sont bien compris, et que les clients finaux connaissent peut-être déjà, renforce la confiance dans la robustesse de la solution et dans sa capacité à fournir les performances et les résultats souhaités. Les applications développées à partir d'un code et d'un contenu existants qui ont fait leurs preuves sont moins coûteuses à développer et requièrent des délais de livraison des produits plus courts. Les attentes peuvent être mieux gérées dans la mesure où les équipes travaillent avec des entités connues, et que des modifications mineures sont apportées si nécessaire pour s'adapter aux scénarios individuels.
Enfin, les utilisateurs doivent tenir compte de la possibilité d'exécuter des logiciels en mode agnostique sur n'importe quel appareil informatique. En général, les plateformes logicielles peuvent être déployées sur un ou plusieurs systèmes industriels fonctionnant sous Windows ou LINUX. Cependant, une nouvelle catégorie d'appareils d'interface homme-machine (IHM) scellés émerge. Ils servent d'appareils de type informatique en périphérique offrant des fonctionnalités similaires à celles des ordinateurs industriels plus grands et plus coûteux.
Les appareils IHM offrent un environnement de déploiement commun. Les appareils IHM sont également plus faciles à prendre en charge et à utiliser. Le risque commercial est moindre, car le matériel plus petit est proposé à un prix inférieur, ce qui permet aux OEM et aux intégrateurs d'être plus rentables et plus compétitifs.
Les appareils IHM contribuent également à atténuer les risques coûteux liés à la cybersécurité. Comme ces appareils scellés n'ont pas de système d'exploitation exposé, aucun logiciel antivirus n'est nécessaire.
En conclusion, si vous prenez le temps d'étudier attentivement les plateformes de visualisation et la manière dont elles soutiennent les efforts de réduction des risques, vous économiserez du temps, de l'argent et des ressources humaines, et éviterez potentiellement une mauvaise expérience client.